Stendhal fut un amoureux de l’Italie. Amoureux comblé puis déçu, heureux et malheureux, il connut l’enfer et le paradis comme tous les amoureux sur cette terre. Dix ans avant sa mort, dans les “Souvenirs d’égotisme”, il s’était plu à rédiger son épitaphe en italien : Un passeport pour demeurer éternellement, en Italie après sa mort.
Marie-Hélène VIVIANI fut professeur de français-latin, elle veut transmettre son goût pour la littérature française ainsi que sa passion pour l'Italie et la langue italienne.
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